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PAKSHING CHOY LEE FUT
KUNG FU

北勝蔡李佛

À propos
Emblême Kung-fu Pakshing Choy Lee Fut.png

HISTORIQUE ET PRESENTATION

Historique du Kung-fu Wu Shu

Le Kung-fu Wu Shu est l'art martial chinois. Son origine se situe au temple Shaolin au VIème siècle après JC.

Le moine bouddhiste Bodhidharma créa un style de combat alliant philosophie et exercice physique, au départ par l'introduction de mouvements devant apporter santé et bien-être, permettant aux moines de sortir de la torpeur lors des longues séances de méditation. Beaucoup plus tard, au XIIIème siècle, l’Hermite Chan San Feng apporta au kung-fu une influence taoïste. Mais, ce n'est qu'au XVIème siècle qu'il est possible de retrouver une trace précise de l'histoire du kung-fu. A cette époque, Chueh Yuan fort des enseignements des siècles passés rencontre Pai Yu Fueng et Li Chieng, de cette amitié naquit un nouveau kung-fu réparti en cinq styles : le tigre, la grue, le serpent, le léopard et le dragon.

Au cours des siècles suivants, le monastère de Shaolin devient un véritable centre d'entrainement aux arts martiaux réputé dans toute la Chine. L'empereur lui-même pris ombrage de tant de puissance et condamna Shaolin à mort. Le célèbre monastère fut pris d'assaut et finit par succomber sous le nombre après une résistance héroïque. Seuls cinq moines experts en Kung-fu en rechapèrent.  Ce sont eux qui sont à l'origine du Kung-fu contemporain. Ils se nommaient Hung, Liu, Mok, Li et Choy. De nos jours, les cinq plus grands styles externes sont le Choy Lee Fut, le Wing Chun, le Hung Gar, le Siu Lam et le Pack Mey. Il existe également des méthodes de Kung-fu dites internes. Par exemple le Tai Chi Chuan, le Pa Kua Chuan et le Hsing I.

Les styles internes sont consacrés aux techniques de régénérations mentale et physique, alors que les styles externes sont plutôt des méthodes de combats à mains nues. Toutefois, le kung-fu externe, à un niveau supérieur, suppose que l'on ait également approfondi les composantes internes (notamment le Qi, énergie interne).

A un haut niveau, les styles internes et externes finissent par parler le même langage. Le kung-fu externe débouche sur une grande philosophie de l'existence. Malgré le fait qu'il soit tourné essentiellement vers des techniques martiales, les domaines spirituelles peuvent s'ouvrir en fonction du tempérament du TOEDAI (élève).

Le kung-fu est sans conteste la technique de combat la plus efficace et la plus élaborée qui soit. Il faut savoir que toutes les disciplines asiatiques utilisant les pieds et les poings, qu’elles soient japonaises, coréennes, ou indochinoises découlent directement du kung-fu Wu Shu chinois. En effet, le kung-fu est le premier art martial a utilisé d'une manière rationnelle toutes les armes naturelles du corps : poings, doigts, poignées, paumes, tranchants de la main, coudes, genoux et pieds. En kung-fu, on ne recherche pas seulement l'efficacité en combat mais aussi le style et la longévité dans l'art martial. Il ne faut pas vouloir être bon un jour mais être excellent longtemps.

LE CHOY LEE FUT 蔡李佛

Le style Choy Lee Fut, originaire du Sud de la Chine fut développé par Chan Heung, du village de Gung Mui, dans la province du Kwangtung. C'est en 1836 que Chan Heung établit officiellement le système Choy Lee Fut nommé ainsi en l’honneur de ses trois professeurs, le moine bouddhiste Choy Fook, qui lui enseigne le Choy Gar, Li Yau San qui lui enseigne le Li Gar et son oncle Chan Yuen Woo qui lui apprend le Fut Gar, en l'honneur des racines du bouddha et du Shaolin Kung-fu.

Le style synthétise les techniques de Kung-fu du Nord et du Sud de la Chine. Les puissantes techniques de bras et de mains du Sud, combinées aux mouvements circulaires, au corps en torsion et aux techniques de jambes, qui caractérisent les arts martiaux du Nord de la Chine. Il contient une grande variété de techniques, y compris des coups de poings longs et courts, des coups de pieds, des balayages et des descentes, des attaques par poings de pressions et articulaires. En plus de cela, on aborde l'étude d'une grande diversité d'armes.

Le Choy Lee Fut est le système le plus performant pour combattre plusieurs personnes. C'est l'un des styles les plus difficiles à attaquer et à défendre contre. Il est le seul style de Kung-fu qui est arrivé en Thaïlande pour affronter les boxeurs thaïlandais et a remporté la victoire et sans jamais perdre.

Avec le temps, deux grands courants dans le style se sont diversifiés : le Hung Sing Choy Lee Fut et le Pakshing Choy Lee Fut. Il y a plusieurs façons d'écrire le mot Pakshing : Paksing, Buck Sing, Pei Sing ... Le style que nous pratiquons est le Pakshing Choy Lee Fut.

Chan Heung (1806-1875), fondateur du style Choy Lee Fut

LE PAKSHING CHOY LEE FUT​ 北勝

Cette branche particulière et même radicalement différente du Choy Lee Fut, fut fondée par Tarm Sarm. Tarm Sarm est originaire de Hoi Ping, une petite ville de Canton où il est né en 1873. Autrefois Tarm Sarm, ou Tam Sam (il y a plusieurs orthographes) était un boxeur talentueux qui excellait en tant que maître de Hung Gar. Depuis son plus jeune âge, il s'adonne à la pratique des arts martiaux du style Hung Gar. Sa nature arrogante le pousse à tester ses capacités en défiant les autres pratiquants et maîtres d'autres styles, d'où il sortait toujours victorieux. 

À ce moment-là, l'école Hung Sing Choy Lee Fut de Fatsan connaissait une grande renommée. Tarm Sarm a pris la décision de défier en premier lieu un disciple de cette école, rencontre au cours de laquelle il a été clairement battu. Bien qu'il ait perdu, il désirait défier le maître de cette école, connu sous le nom de Liu Chan ou Louis Charn (orthographes différentes). En quelques secondes, Louis Charn le bâtit. Tarm Sarm profondément impressionné par l'efficacité du Choy Lee Fut demanda à Louis Charn de le prendre en tant qu'élève et il accepta.

Tam Sam s’entraîna plusieurs années auprès de son maître, progressa très rapidement et devint instructeur. Comme Tam Sam était un innovateur, il commença dans le même temps à modifier les enseignements de son maître au point qu’il avait créé une approche radicalement différente de la technique du Choy Lee Fut de base. C’est à cette époque, qu’un jour alors que son maître était parti en voyage, Tarm Sarm fut impliqué dans un différend avec d’autres camarades de l’école plus âgés que lui. Il les défiât et les battit tous. La nouvelle de ce désaccord est parvenue à son maître Louis Charn, qui dû expulser Tarm Sarm de l'école. En effet, ces luttes entrent frères d’écoles transgressent le code de conduite du Choy Lee Fut.

L’histoire raconte aussi que Tarm Sarm, pressentant que sa nouvelle approche était supérieure à la méthode traditionnelle du Choy Lee Fut, organise des combats de défits avec les étudiant séniors de Louis Charn, y compris ce dernier pour démontrer l’efficacité de son art. Il les a très rapidement tous vaincus.

L’histoire dit aussi que Louis Charn aurait également expulsé Tarm Sarm de l’école pour ne pas avoir suivi la méthode traditionnelle Hung Sing Choy Lee Fut et pour avoir perdu la face.

Alors que son apprentissage n’est pas terminé, après avoir quitté l’école de Louis Charn, Tarm Sarm continue à défier des autres maîtres se forgeant ainsi une réputation de grand combattant.

Finalement, il s’installe à Guangzhou, dans le quartier de Siu Bak, ou Siu Buk et il fonde une école appelée Siu Bak Hung Sing Choy Lee Fut. Puisque ce nom était trop long, les gens utilisaient le nom de Buk Sing Choy Lee Fut pour faire référence à son école.

La renommée de Tarm Sarm dès lors ne cessa pas de s’élever, au point que les gens commencèrent à l’appeler « le point légendaire du Nord », se référant au quartier de Siu Bak dans le Nord de Guangzhou. Le Choy Lee Fut de Tarm Sarm est officiellement appelé Buk Sing Choy Lee Fut et est vu comme une branche distincte.

Tarm Sarm s'éteint en 1942, à l'âge de 69 ans. Il est considéré par ses descendants comme le fondateur de la branche Buk Sing. Du fait, que l’apprentissage de Tarm Sarm à l’école Hung Sing Choy Lee Fut n’a pas été achevée, cette branche se caractérise par très peu de formes mais par une grande profusion de techniques essentiellement tournée vers le combat.

De nos jours, certains disciples de Tarm Sarm choisissent de s'installer à Hong Kong et en Malaisie pour perpétuer leur héritage.

Tarm Sarm ( 1873-1942), fondateur du style Buk Sing Choy Lee Fut

 

 

 

 

 

LE MAITRE TAM SHING

Tam Shing, aussi connu sous le nom de Tam Sing, est arrivé en France dans les années 1970, en premier lieu pour rechercher un rôle au cinéma.

Ce jeune maître et athlète exceptionnel fut sacré champion d’Asie (combat) 1973. Le championnat a été remporté à Kuala Lumpur grâce à sa victoire en finale contre Ku Lu Sanmaï, un boxeur thaïlandais célèbre. Grâce à son passé de compétiteur hors pair, Tam Shing gagnait en notoriété à Hong Kong en tant qu'acteur de cinéma spécialisé dans les arts martiaux.

En 1974, il s'est établi et a vécu plusieurs années dans la ville de Tours.  Il fit la rencontre de Dominique Barreau, qui devait devenir son seul disciple français parmi les nombreux élèves. Ils entretiennent une relation de père à fils, même en partageant leur vie quotidienne et familiale. Pendant 5 ans, il lui a transmis son art. Ainsi, Dominique Barreau était le seul grand disciple français de Tam Shing. Il est donc le pionnier du Pakshing Choy Lee Fut en France.

Tam Shing eut plusieurs maîtres en Chine dont Tarm Fei Pong qui n’est qu’autre le fils du maître fondateur Tarm Sarm. Leung Chi, où Leung Tze Cheung qui lui était le disciple préféré de Tarm Sarm et maître Lai Chou. Maître Leung Tze est même venu à Tours, accompagné de son épouse. Il s'est rendu chez son élève Tarm Shing, a rencontré Dominique Barreau, qui les a accueillis et hébergés. Pendant leur séjour, ils ont même eu l'opportunité de visiter la capitale pour leur faire découvrir la France.

De nos jours, de nombreuses photos prises à cette époque-là et appartenant à Dominique Barreau sont diffusées en ligne. Cela témoigne de la proximité des liens et de l'intégrité de notre lignée. Nous avons donc la chance de pratiquer un style extrêmement pur, n’ayant pas subi de déformation.

Peu de temps après, Dominique Barreau partit pour Hong Kong à l'école de Tam Shing en tant que stagiaire, afin d'approfondir ses connaissances dans le style. Tam Shing devait ensuite rentrer à Hong Kong où malheureusement il est décédé par accident.

Maître Tam Shing, pionnier du Pakshing Choy Lee Fut en France

Maître Dominique BARREAU     

Dominique Barreau a rencontré Tam Shing à l'âge de 14 ans lors de sa visite à Tours. Ce talentueux maitre en Buk Sing Choy Lee Fut, combattant inégalé et invaincu, au titre suprême.

Dominique manifesta immédiatement un grand intérêt et nourrit une passion pour son art. Tam Shing a commencé à lui enseigner et, en constatant son assiduité, une véritable amitié et une relation filiale s'est formée. S'entraînant intensivement et chaque jour pendant 5 ans aux côtés de son maître, Dominique acquit une connaissance approfondie du style Pakshing Choy Lee Fut de Tam Shing. Il fut le seul et unique parmi tous les élèves à se démarquer. Il devint le seul grand disciple français de Tam Shing. Entre temps, Dominique s'est rendu à Hong Kong, à l'école de Tam Shing, toujours en quête de perfection.

Dominique créa son premier club de Kung fu Pakshing Choy Lee Fut à Tours, en 1979, en se basant sur son expérience pour développer son style. C'est le seul endroit en France où cette pratique est possible. La région Centre a évolué pour devenir le berceau du Choy-Le-Fut français au fil du temps. L'enseignement de Dominique est à l'origine de tous les clubs de Touraine et de la région Centre. De nombreux élèves ont fréquenté l'école, et certains ont même été sacrés champions de France puis enseignèrent à leur tour.

Dominique, qui était au sommet de son art et de sa réputation sans cesse grandissante, a été sérieusement affectée par la disparition soudaine de son maître à la fin de la décennie 1980. Néanmoins, il persista à s'entraîner et à perpétuer la transmission du style.

Après son départ soudain en 2006, Dominique nous a laissé un héritage inestimable.

Maître Dominique Barreau (1959-2006), avec son maître Tam Shing

 

Le Professeur M. Marc-Antoine CANONICI

Pratique le style Pakshing Choy Lee Fut depuis 1989.

Titulaire d'une ceinture noire (lauréat) et d'un 1er Dan FFKMA. A l'époque (Fédération française de karaté et arts martiaux affinitaires). De nos jours, devenue FFK (Fédération française de karaté). En effet, à ce moment-là, il n'y avait pas de fédération de kung-fu en France, et pour pratiquer au sein d'un club, il était obligatoire de s'affilier à une fédération.

Marc-Antoine Canonici a été l'élève de maître Dominique Barreau, le seul enseignant français reconnu de Maître Tam Shing.

Instructeur fédéral.

Professeur titulaire d'un diplôme d'État.

Sélectionné pour participer aux séances d'entraînement de l'équipe de France.

En 2000, a obtenu le titre de meilleur technicien national et représente le Pakshing Choy Lee Fut en Suisse.

Il est le premier à avoir apporté le Pakshing Choy Lee Fut en Suisse ; il s'agit donc de la 1ère école de toute la Suisse.

 

Entretien avec Marc-Antoine Canonici

- De quelle manière as-tu découvert le kung-fu ?

" De mon point de vue, après avoir visionné des films d'arts martiaux au cinéma, et en particulier grâce à la grande popularité de Bruce Lee ".

- Comment en es-tu venu à pratiquer le kung-fu ?

" Les arts martiaux ont toujours suscité mon intérêt. Dès mon plus jeune âge, j'ai commencé à pratiquer le judo. C'est seulement plus tard que j'ai appris par des camarades qu'il y avait, dans ma région, une personne célèbre appelée Tarm Shing, qui était un expert incontesté en Kung-fu.

Certains d'entre eux ont eu la chance de le rencontrer et de prendre part à quelques séances d'entraînement avec lui. Quant à moi, je n'ai pas eu cette chance !

 

Pour l'anecdote, mes camarades m'avaient fixé un rendez-vous à une heure et un lieu précis afin que je puisse assister avec eux à l'entraînement de Kung-fu et faire la connaissance de Tarm Shing. Malheureusement, quand je suis arrivé, à mon grand regret, personne n'était là. Tous étaient donc partis sans moi ... L'occasion ne s'est jamais plus représentée ! "

" De nombreuses années passèrent et j'avais toujours cette passion pour le Kung-fu, mais je ne connaissais pas d'école. Désireux de me mettre à la pratique d'un art martial proche, un de mes amis m'a demandé de venir voir un cours de Viet Vo Dao, en espérant que cela me plaise. Par pur hasard, après avoir quitté le cours de Viet Vo Dao, prêt à m'inscrire, la porte du cours voisin s'est ouverte... Soudainement, la personne qui allait devenir mon maître a fait son apparition dans l'entrebâillement de la porte. J'ai pu apercevoir brièvement ce qui se déroulait dans cette salle... la porte se refermant aussitôt. Un entraînement de Kung-fu !!! Pas possible ... "

" Alors, est-ce que tu t'inscris, me demanda mon ami ? NON. Ce que je veux est dans la salle d'à-côté. En es-tu vraiment sûr? Absolutely "

Et c'est ainsi que débuta l'histoire...

- Peux-tu nous parler de ton maître ?

" Comment ne pas en parler !

Il fallait bien le connaître, c'était un personnage singulier. Il était impressionnant tant par ses qualités physiques  que son niveau exceptionnel,  le plaçant loin devant même, d'autres personnalités célèbres des arts martiaux, incontestablement pour les avoir réellement vu. Personnellement, je n'ai jamais vu mieux. Au début, je me sentais plutôt timide, réservé face à lui et lui témoignait un grand respect. En réalité, c'était un personnage capable d'inspirer de la crainte, mais qui avait un cœur immense.

Dominique s'est imposé par KO contre le champion du Monde de sa catégorie  à Paris, à l'occasion d'un Championnat de France, pour la petite histoire. C'est une information parmi tant d'autres que je partage et qui n'est pas connue. C'est dire ... Il était un combattant exceptionnel et un champion hors pair, tel que son maître.

 

Au Club, j'ai été son élève pendant des années, un élève "ordinaire" tel que tout le monde, jusqu'à ce qu'il quitte la région pour des raisons professionnelles durant plusieurs années. Cela ne m'a pas découragé pour autant, et malgré son absence, j'ai toujours persévéré dans ma pratique quotidienne, jusqu'au parcours que vous connaissez.
Mon maître était toujours dans mes pensées, j'espérais toujours le revoir. Un jour, j'ai été informé de son retour, et immédiatement je me suis empressé de le retrouver sur son lieu de travail ! Il était très content de me revoir et avait appris en même temps ce que j'étais devenu ; une fois de plus, nos chemins se rejoignaient.

C'était le point de départ d'une relation très proche, unique, singulière, amicale et familiale à ce moment-là. Comme d'ordinaire le temps passant, parmi tous ses élèves à qui il avait tant donné, très peu se renseignèrent sur son existence. Dès qu'il le vit, Dominique ressentit une certaine amertume. Ensuite, il convient de souligner que la perte de son maître a eu un impact considérable sur sa trajectoire de vie.

Nos liens se renforçaient encore plus, et il décida de me prendre exclusivement sous son aile. Conscient des progrès que j'avais réalisés et des efforts que j'avais déployés, j'ai eu la chance de suivre un enseignement particulier et exclusif pendant 8 ans.
Nous avons tous les deux été les initiateurs d'un tout nouveau Club de Kung-fu dans la région Centre, qui est toujours en activité de nos jours.

 

Son décès m'a profondément attristé en 2006.

Dans le but de commémorer sa mémoire et de transmettre notre art martial, j'ai décidé de créer la première école de Pakshing en Suisse "

 

" Je suis convaincu qu'il aurait été extrêmement fier et très honoré "

UN IMMENSE MERCI, RESPECT ET GRATITUDE A TOI, MON MAITRE.

Chan Heung, fondateur du style Choy Lee Fut
Tarm Sarm, fondateur du style Pakshing Choy Lee Fut.webp
Tam Shing
Dominique Barreau.jpg
Tam Shing.jpg
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COURS

Cours débutants

Ces cours sont destinés aux élèves qui commencent la discipline ; ils portent une ceinture blanche.
Effectivement, il est important de souligner qu'il n'existe pas de distinction de grade dans le Kung-fu traditionnel en Chine. Néanmoins là-bas, la hiérarchie en Kung-fu repose sur de véritables liens de famille. C'est dans le cœur de l'homme que réside le principe de valeur.
Cependant dans une école le fait d'attribuer des grades sous forme de ceinture n'est pourtant pas une mauvaise chose car cela permet de situer les différents niveaux des pratiquants. Cela peut aussi se révéler pervers dans la mesure où ceci peut représenter la "carotte", incitant le pratiquant à une course au grade et pour le grade sans forcément en avoir le niveau. Il est donc essentiel de persévérer en étant le plus honnête avec soi-même.

Après avoir terminé sa première année de pratique, l'élève peut envisager d'obtenir la ceinture jaune et intégrer le cours avancé la saison suivante.

Cours avancés

Pour les élèves qui ont déjà acquis un premier TAO de base, à partir de la ceinture jaune.
Dans le même cours, on retrouve également les autres niveaux plus élevés.
Dans le prolongement, les ceintures sont de couleur verte, bleue, violette et noire.

Cours de self-défense

En peu de temps d'entraînement, le Pakshing Choy Lee Fut se révèle être un style très efficace en combat. C'est la raison pour laquelle, dès la première année, des méthodes de self-défense simples à mettre en œuvre en cas d'attaques sont enseignées. Au fil des années de pratique, ces techniques se diversifient et se perfectionnent.

Information cours

À partir de 12 ans, vous êtes les bienvenus !

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Le Guangzhou moderne, la Tour de Canton
Cette ville a vu naître le Pakshing Choy Lee Fut

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